Le cinéma marocain a récemment découvert « Résilience », un drame social fort et émouvant signé Mohamed KARRAT. Asmaa KHAMLICHI, à la fois actrice et coproductrice, a offert aux spectateurs un film captivant qui a fait parler de lui dès sa sortie.
Trois avant-premières qui ont marqué les esprits
Avant sa sortie nationale, Résilience avait été présenté lors de projections en avant-première à :
- Pathé Californie (Casablanca) : 10 octobre
- Megarama (Casablanca) : 14 octobre
- Marrakech : date en octobre à confirmer
Ces projections exclusives ont permis au public de découvrir un long-métrage déjà salué pour son intensité dramatique et sa justesse émotionnelle.
Une histoire universelle sur la force des femmes
À travers le parcours de deux sœurs, Nouha et Asmaa, Résilience explore les défis auxquels est confrontée la femme marocaine contemporaine : la pression sociale, la préservation des valeurs fondamentales et les épreuves personnelles face à des relations destructrices. Le film met en lumière la lutte contre l’emprise d’un pervers narcissique, tout en illustrant avec finesse la capacité des femmes à transformer la douleur en force intérieure.
Un duo créatif exceptionnel
Pour Mohamed KARRAT, ce film s’inscrit dans la continuité de son cinéma engagé, mêlant réalisme social, intensité dramatique et profondeur psychologique. Asmaa KHAMLICHI, pour sa part, franchit une nouvelle étape artistique en s’impliquant dans la production tout en incarnant un personnage central. Elle est entourée de jeunes talents prometteurs du cinéma marocain : Asmaa El Arbouini et Mohcine Elmountaki, qui apportent fraîcheur et énergie au récit.
« Résilience est plus qu’un film. C’est une synthèse de la vie, remplie de symboles puissants, et une déclaration sur la force intérieure de la femme marocaine », confie ASMAA KHAMLICHI, émue après le visionnage du montage final.
90 minutes d’émotions et de réflexion
Avec une durée de 90 minutes, Résilience captive par ses interprétations poignantes, sa mise en scène soignée et l’intensité dramatique de son récit. Entre drame intime et miroir social, le film s’impose déjà comme une œuvre incontournable du cinéma marocain contemporain.




